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C'est étonnant comme j'engraisse depuis que ma femme est morte!
C'est étonnant comme j'engraisse depuis que ma femme est morte!
C'est étonnant comme j'engraisse depuis que ma femme est morte!
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C'est étonnant comme j'engraisse depuis que ma femme est morte!

Künstler:in (1808 - 1879)
Date1852
MediumLithografie
Display DimensionsBlatt: 35,2 cm × 24,7 cm (352 × 247 mm)
Darstellung: 24,5 cm × 21,5 cm (245 × 215 mm)
ClassificationsDruckgrafik
Credit LineMuseum der Moderne Salzburg
Object numberBA 14338
Provenance1995 Ankauf
Collections
DepartmentGrafische Sammlung, Gemälde und Skulpturen
Dire qu' Arsinoé n'était pas contente d'être portraiturée, Daguerréotypée, lithographiée et biographiée!... il faut maintenant que je paie trois mille francs pour son buste en marbre... c'est dur!... pour comble de malheur me voilà obligé d'épousseter ma femme tous les matins... et c'est qu'elle en fait de la poussière, ma femme!....
Dire qu' Arsinoé n'était pas contente d'être portraiturée, Daguerréotypée, lithographiée et biographiée!... il faut maintenant que je paie trois mille francs pour son buste en marbre... c'est dur!... pour comble de malheur me voilà obligé d'épousseter ma femme tous les matins... et c'est qu'elle en fait de la poussière, ma femme!....
Honoré Daumier
1844
– Dites donc, mame Giboulard… savez-vous que c’est guère régalant pour des femmes de not’sexe, de descendre comme ça tous les jours le fleuve de la vie tout le long du ruisseau de la rue St. Honoré… – C’est vrai … mame Chaffarou … mais aussi nous pouvons nous vanter que c’est nous seules qu’embellissons Paris! ...
– Dites donc, mame Giboulard… savez-vous que c’est guère régalant pour des femmes de not’sexe, de descendre comme ça tous les jours le fleuve de la vie tout le long du ruisseau de la rue St. Honoré… – C’est vrai … mame Chaffarou … mais aussi nous pouvons nous vanter que c’est nous seules qu’embellissons Paris! ...
Honoré Daumier
1843
C'est bien ici qu'il m'avait donné rendez-vous entre la 4me et la 5eme vague. C'est étonnant qu'il me fasse attendre comme cela!
C'est bien ici qu'il m'avait donné rendez-vous entre la 4me et la 5eme vague. C'est étonnant qu'il me fasse attendre comme cela!
Honoré Daumier
1853
C'est drôle, ma femme n'aime pas le gibier et chaque fois que Monsieur Gustave vient, elle me dit va donc tuer un lièvre, ou des perdreaux! Je crois que c'est moi qu'elle veut chasser!
C'est drôle, ma femme n'aime pas le gibier et chaque fois que Monsieur Gustave vient, elle me dit va donc tuer un lièvre, ou des perdreaux! Je crois que c'est moi qu'elle veut chasser!
Honoré Daumier
1844
Monsieur, auriez-vous la bonté de me dire quand vous voudrez bien me payer les cinq cents francs que vous me devez depuis longtemps...- Mon cher, vous n'êtes pas raisonnable de me faire une pareille demande, vous voyez bien que je n'ai rien sur moi dans ce moment-ci...
Monsieur, auriez-vous la bonté de me dire quand vous voudrez bien me payer les cinq cents francs que vous me devez depuis longtemps...- Mon cher, vous n'êtes pas raisonnable de me faire une pareille demande, vous voyez bien que je n'ai rien sur moi dans ce moment-ci...
Honoré Daumier
1858
Depuis que Zémire sait qu'elle va me couter quinze francs ...
Depuis que Zémire sait qu'elle va me couter quinze francs ...
Honoré Daumier
1848, publ. 1848
Il me semble que j'aperçois là-bas un petit chien qui n'est pas muselé!.. - Ne craignez rien, Mr. Robichon, s'il approche, je lui lancerai ma tabatière dans les yeux!
Il me semble que j'aperçois là-bas un petit chien qui n'est pas muselé!.. - Ne craignez rien, Mr. Robichon, s'il approche, je lui lancerai ma tabatière dans les yeux!
Honoré Daumier
1852
Allons bourgeois, levez-vous vite... c'est vot' tour, faut que j' vous démolisse!..
Allons bourgeois, levez-vous vite... c'est vot' tour, faut que j' vous démolisse!..
Honoré Daumier
1852
Nouvelles positions prises par les Russes depuis qu'ils ont à combattre la dyssenterie
Nouvelles positions prises par les Russes depuis qu'ils ont à combattre la dyssenterie
Honoré Daumier
1854
Croyez-moi! prenez mon bras. Après avoir été enchainée depuis si longtemps, vous ne seriez pas assez forte pour marcher seule.
Croyez-moi! prenez mon bras. Après avoir été enchainée depuis si longtemps, vous ne seriez pas assez forte pour marcher seule.
Honoré Daumier
1866