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Voyons, bobonne..., n'agace pas comme ça la mer...., elle n'aurait qu'à devenir tout d'un coup méchante et nous n'aurions pas le temps de nous sauver!....
Voyons, bobonne..., n'agace pas comme ça la mer...., elle n'aurait qu'à devenir tout d'un coup méchante et nous n'aurions pas le temps de nous sauver!....
Voyons, bobonne..., n'agace pas comme ça la mer...., elle n'aurait qu'à devenir tout d'un coup méchante et nous n'aurions pas le temps de nous sauver!....
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Voyons, bobonne..., n'agace pas comme ça la mer...., elle n'aurait qu'à devenir tout d'un coup méchante et nous n'aurions pas le temps de nous sauver!....

Serie
  • Blatt 15 der Serie „Croquis d'été“ erschienen in „Le Charivari“ vom 30. Juni 1857
Künstler:in (1808 - 1879)
Date1857
MediumLithografie
Display DimensionsBlatt: 24,7 cm × 35,5 cm (247 × 355 mm)
Darstellung: 19,7 cm × 25,7 cm (197 × 257 mm)
ClassificationsDruckgrafik
Credit LineMuseum der Moderne Salzburg
Object numberBA 15304
Provenance1997 Ankauf
DepartmentGrafische Sammlung, Gemälde und Skulpturen
La dame maigre: Voilà le bateau à vapeur qui sort.... le baron Coquenard doit être à bord!... enfonçons-nous dans la mer pour qu'il ne nous voie pas dans ce costume..... La grosse dame: Moi.... je ne suis pas fâchée qu'il me voie..... lui qui prétend toujours qu'il ne reste rien d'une femme quand elle a quitté sa crinoline et son corset!.....
La dame maigre: Voilà le bateau à vapeur qui sort.... le baron Coquenard doit être à bord!... enfonçons-nous dans la mer pour qu'il ne nous voie pas dans ce costume..... La grosse dame: Moi.... je ne suis pas fâchée qu'il me voie..... lui qui prétend toujours qu'il ne reste rien d'une femme quand elle a quitté sa crinoline et son corset!.....
Honoré Daumier
1859
(Le mari s'assoupissant.) Je suis sûr que nous formons un groupe charmant, dormant tous les trois l'un à côté de l'autre... pas vrai Caroline... tiens elle ne répond pas! c'est qu'elle dort probablement déjà... Mr. Alfred! Mr. Alfred... il paraît qu'il dort, aussi lui!
(Le mari s'assoupissant.) Je suis sûr que nous formons un groupe charmant, dormant tous les trois l'un à côté de l'autre... pas vrai Caroline... tiens elle ne répond pas! c'est qu'elle dort probablement déjà... Mr. Alfred! Mr. Alfred... il paraît qu'il dort, aussi lui!
Honoré Daumier
1853, publ. 1853
Quelle fichue idée j'ai eue de venir chasser dans ces satanées plaines de la Sologne sans bien connaître le pays... pas moyen de trouver une ferme, me voilà obligé de passer toute la nuit à la belle étoile... vais-je m'ennuyer.. au moins mon chien passe son temps à aboyer à la lune, ça l'occupe!..
Quelle fichue idée j'ai eue de venir chasser dans ces satanées plaines de la Sologne sans bien connaître le pays... pas moyen de trouver une ferme, me voilà obligé de passer toute la nuit à la belle étoile... vais-je m'ennuyer.. au moins mon chien passe son temps à aboyer à la lune, ça l'occupe!..
Honoré Daumier
1853
Quelle fichue idée j'ai eue de venir chasser dans ces satanées plaines de la Sologne sans bien connaître le pays... pas moyen de trouver une ferme, me voilà obligé de passer toute la nuit à la belle étoile... vais-je m'ennuyer.. au moins mon chien passe son temps à aboyer à la lune, ça l'occupe!..
Quelle fichue idée j'ai eue de venir chasser dans ces satanées plaines de la Sologne sans bien connaître le pays... pas moyen de trouver une ferme, me voilà obligé de passer toute la nuit à la belle étoile... vais-je m'ennuyer.. au moins mon chien passe son temps à aboyer à la lune, ça l'occupe!..
Honoré Daumier
1853
Ça ne va pas tout à fait comme il le voudrait.
Ça ne va pas tout à fait comme il le voudrait.
Honoré Daumier
1854
– Dites donc, mame Giboulard… savez-vous que c’est guère régalant pour des femmes de not’sexe, de descendre comme ça tous les jours le fleuve de la vie tout le long du ruisseau de la rue St. Honoré… – C’est vrai … mame Chaffarou … mais aussi nous pouvons nous vanter que c’est nous seules qu’embellissons Paris! ...
– Dites donc, mame Giboulard… savez-vous que c’est guère régalant pour des femmes de not’sexe, de descendre comme ça tous les jours le fleuve de la vie tout le long du ruisseau de la rue St. Honoré… – C’est vrai … mame Chaffarou … mais aussi nous pouvons nous vanter que c’est nous seules qu’embellissons Paris! ...
Honoré Daumier
1843
Eh bien! Rigobert... mon vieux flambard.... nous allons faire une longue traversée aujourd'hui... as-tu embarqué des vivres à bord de notre navire?... - Ne m'en parle pas!... je n'ai pu rapporter que deux croquets et un hareng saur!....
Eh bien! Rigobert... mon vieux flambard.... nous allons faire une longue traversée aujourd'hui... as-tu embarqué des vivres à bord de notre navire?... - Ne m'en parle pas!... je n'ai pu rapporter que deux croquets et un hareng saur!....
Honoré Daumier
1843
Ta mère n’aurait pas pu te faire passer ça! ...
Ta mère n’aurait pas pu te faire passer ça! ...
Félix Vallotton
1901
Les suites d’un plongeon. Le Baigneur. – Il n’y a pas d’mal d’en avaler ... il n’y a pas d’mal, ça fortifie l’intérieur!
Les suites d’un plongeon. Le Baigneur. – Il n’y a pas d’mal d’en avaler ... il n’y a pas d’mal, ça fortifie l’intérieur!
Honoré Daumier
1853, publ. 1853
Quien..., ces Parisiennes qui s'moquiont d'nous tout à l'heure si alles croyent qu'alles sont pus belles que nous maintenant, alles se trompent joliment!....
Quien..., ces Parisiennes qui s'moquiont d'nous tout à l'heure si alles croyent qu'alles sont pus belles que nous maintenant, alles se trompent joliment!....
Honoré Daumier
1857